GOLF 'R' S7 : 'Das ist TERMINATOR !!!' De Monsieur XWR...

Une rencontre au gré des demandes d'essais un mardi matin chez Autosgm,

un client qui revient sentir les effluves de son dernier achat… Un homme heureux ce client XWR (Nommé ainsi pour les besoins de notre article) et un homme fier, très fier de nous faire découvrir un bijou… Son bijou personnalisé à souhait… Vous allez me dire encore un Fada du tuning qui cambriole bêtement le design d'une voiture portant flambante et bien dessinée de naissance ??? Non Madame, je ne vous parle pas de cet homme la, non-non… Je vous parle du charme discret d'un homme de goût… Un Monsieur qui aime un tantinet le luxe, la volupté et la puissance démoniaque cachée sous un capot comme on cache, avec éducation, sa liasse de billets violet dans la poche intérieur de son blazer… Je vous parle d'un homme qui à choisi l’extrême discrétion et la blancheur torrided'une Golf série 7 type 'R' !!! Extrême discrétion car de loin oui mais seulement de loin j'ai envie d'écrire que la Golf R ressemble à une… Banale….Golf série 7 si je peux la décrire ainsi… Diantre, foi de Cabri… La bête se révèle quasi totalement à son approche… Mais je dois aussi vous parler de mon intermédiaire descendu des hauts logiciels, écrivain en DOS… Laurent… Merci donc à toi pour cet essai ou pilotage rimait avec sécurité et démonstration de puissance de perfection… La Golf R mérite toujours un bon pilote sage et serein… Merci…Quand le client XWR ce mardi me fait approcher de son bijou je remarque très vite que nonnnnnnnnnnnnnn !!! Cet appareil ne peut-être une classique Golf série 7… Non!! La quadruple sortie d’échappement, les logos «R» sur les flancs et le bouclier avant qui joue les dentelières de Saint-Gall sont les discrets attributs esthétiques permettant d’identifier notre Golf R d’une classique TSI ou TDI. Je remarque aussi les feux arrière fumés. Pour le reste, notre Golf ne se métamorphose pas outre mesure, conservant son regard acéré et cette simplicité stylistique qui fait le succès de cette septième itération. L’ensemble respire la solidité et la qualité, auquel sont ajoutées quelques touches de sportivité discrètes et peu arrogantes. A tel point que cette R me semble plus sage que les générations précédentes, ses 300 CV préférant jouer la discrétion que la sportivité ostentatoire. Sous le capot Du côté technique, la Golf R partage beaucoup d’organes avec sa cousine l’Audi S3. A commencer par la plateforme MQB, la transmission intégrale et surtout le moteur 2.0 l. TFSI. D’une cylindrée de 1'984 cm3, ce bloc développe 300 CV de 5'500 à 6'200 t/min et 380 Nm de couple de 1'800 à 5'500 t/min. C’est à la base le même coeur quela Golf GTI chez qui il développe 220 CV, auquel des pistons et une culasse spécifiques ont été montés et la pression de suralimentation sensiblement augmentée. De série, ce bloc est accolé à une boîte de vitesses mécanique à 6 rapports. Il est possible de choisir la boîte à double-embrayage DSG à 6 rapports également . Comme évoqué plus haut, la puissance est distillée sur les quatre roues au moyen de la transmission intégrale 4Motion, reposant sur un système Haldex de cinquième génération. Le couple est ainsi modulé entre l’avant et l’arrière au moyen d’un embrayage multidisques. Alors que laGTI dans sa version «Performance» reçoit un différentiel autobloquant sur le train avant, la Golf R en fait l’économie. En outre, notre modèle d’essai reçoit le châssis adaptatifDCC (CHF 1'430.-) qui permet de choisir parmi cinq modes de réglages (normal, sport, éco, confort, et individuel) agissant sur la boîte de vitesses, la direction, la réactivité de l’accélérateur et bien entendu l’amortissement. Enfin, parmi les petits «gadgets», la Golf R accueille un «Soundaktor » auf Deutsch dans le texte. Il s’agit d’un haut-parleur dissimulé sous le tableau de bord qui amplifie le bruit d’admission pour teinter d’une touche de sportivité l’atmosphère sérieuse de l’habitacle… Il est vrai que l’insonorisation générale très efficace ne permet pas de profiter des borborygmes de l’échappement depuis l’intérieur. Mais ce dispositif offre un rendu trop artificiel sans parler des vibrations qu’il occasionne, suivant les fréquences, sous le tableau de bord… Du côté de la consommation, une telle cavalerie demande sa bonne ration de sans plomb. Annoncée à une moyenne utopique de 6.9 l./100 km en cycle mixte, il vous faudra plutôt compter sur 9 bons litres au 100 km en conditions réelles.
J'ai osé découvrir cela de Monsieur XWZ.....Yes Men : Au volantavec Monsieur XWR puis un autre jour avec Laurent sur la route de Saint-Joseph,
La première chose qui frappe à la prise en main est l’extraordinaire polyvalence de la Golf R. Mode « Eco » enclenché, les 300 chevaux fous se transforment en dociles petits poneys faisant évoluer notre compacte en douceur, la boîte DSG poussant même le vice à se mettre en roue libre sur les faux plats descendants… Idéal pour la ville, où notre Golf sera tout de même handicapée par un rayon de braquage important. Le confort d’amortissement est correct, oubliez le mode «confort» sauf sur revêtements très dégradés, tant la caisse pompe dans tous les sens.
A l’opposé, le mode «Race» traduit bien les velléités de la mécanique. L’accélérateur répond à la moindre pichenette, le «Soundaktor» transmet ses décibels tandis que la boîte de vitesses DSG répond avec franchise et rapidité. Les ressources sont inépuisables, le couple se montrant omniprésent sur une large plage que la boîte de vitesses conserve à chaque changement de rapports. La transmission digère très bien la puissance et le couple transmis sans que l’on puisse déceler le transfert vers les roues arrière, si ce n’est qu’on est littéralement catapulté vers l’avant. L’amortissement devient plus ferme, sans pour autant se montrer cassant, preuve que VW a choisi un compromis devant plaire au plus grand nombre. Le maintien en appui ne montre aucun flottement et notre Golf semble posée sur des rails. Le freinage ne manque pas de franchise dans son mordant puissant et endurant. Une fois ces particularités assimilées, on peut interpréter sa partition routière à bon rythme. Ici délester l’arrière pour enrouler le virage, ou là remettre pleins gaz pour s’envoler sur l’enchaînement suivant. Etonnamment agile,la Golf R ne se montre jamais piégeuse ou vicieuse, prévenant avec bienveillance ses déhanchements. Et en tout dernier recours interviennent les béquilles électroniques, bien évidemment. En mode «normal»la Golf R se transforme en bonne routière confortable pour tous les jours et qui se montrera capable d’emmener toute la petite famille sur de longs trajets s'il en est pour les vacances à Saint-Anne. En bref 'Das ist TERMINATOR', oui je confirmela Golf R est une démonstration de puissance et de technologie maîtrisée parla marque allemande et Incontestablement une bonne pioche pour celui qui recherche la polyvalence et l’efficacité. Pour vous renseigner et commander votre Golf R série 7 accélérez ici !!!

Octobre rose 2024 avec la ligue !

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