Opel Adam Slam 1.4 l 100 ch : Star de l'ultra-personnalisation…

Nous attendions de réaliser l’essai de l' ADAM chez Autosgm...

Cette petite starlette qui va aux jeunes femmes martiniquaises un peu voir très Glamour comme une… Bague… C'est bien un segment de marché sur lequel on n'attendait pas Opel. Voilà que la firme deRusselsheim se met à la petite urbaine chic et branchée, voire passion, avec l'Adam. Plutôt inattendu de la part d'Opel, qui veut afficher un modèle dans les parking de nos discothèques. Avec l'Adam (prononcer Adame), Opel chasse clairement sur les terres des modèles concurrents bien installés sur le segment… Au-delà du choix entre trois moteurs essence, et quatre finitions(Adam, Jam, Glam et Slam), les associations de couleurs de toits, de carrosserie et de jantes (jusqu'aux monstrueuses 18 pouces), permettraient 33 000 combinaisons possibles. Multipliez les associations avec les placages intérieurs, les stickers, les ambiances lumineuses, les motifs de ciel de toit, et Opel pense ne pas produire deux Adam identiques. Le constructeur va jusqu'à proposer des touches de couleur à clipser sur les branches de certainsmodèles de jantes. Histoire de mâcher un peu le travail des clients, Opel propose des packs qui prédéfinissent des associations de couleurs, de jantes et de décos (voir les prix chez Autosgm). Une véritable révolution pour la marque, qui prend soin d'éviter les balles quant aux similitudes avec le marché : pas de design rétro, avec l'Adam. C'est logique :Opel n'a pas de modèle mythique à ce niveau de gamme, dans son histoire, auquel se référer pour lancer sa petite citadine. Opel gagne sans doute en liberté, n'invente rien, mais s'approprie le concept de la petite urbaine branchée avec une sacrée habileté. Opel joue le jeu à fond, et l'expérience commence à la maison ou dans un showroom, en examinant les douze teintes de carrosserie disponibles. Le blanc s'appelle "Saturday white fever", le pourpre, c'est "Purple Fiction", le noir, c'est "I'll be black". Et l'orange ? "Papa don't peech" ! Rien que des références à de la culture musique ou ciné ! Actu oblige, on vous livre le petit nom du jaune vif : "James Blonde". C'est inutile, peut-être, mais ça ne coûte pas cher et ça peut donner le sourire. Place au look, ensuite. Craquant et jovial sans faire jouet, tout simplement, avec le pavillon qui paraît dissocié du reste de la carrosserie, et deux plis de tôles bien sentis : l'un qui englobe, depuis l'arrière, la poignée de porte, et l'autre qui s'appuie sur la roue avant. La bonne bouille est assurée par les clignotants ronds et la calandre béante. A l'arrière, deux petits feux ronds, dans le pare-chocs, renvoient le seuil de chargement du coffre très haut. Le hayon a droit aussi à sa coquetterie : un petit pli qui forme un mini becquet, et un logo Opel qui commande l'ouverture. Un vrai beau boulot, condensé dans 3,70 m. Même réussite de l'opération séduction dans l'habitacle, avec des rappels de carrosserie (au choix, bien entendu) sur la planche de bord, et surtout des matériaux moussés, qui inspirent confiance, assemblés sérieusement, à l'image des cerclages d'aérateurs, ou les commandes de climatisation automatique.Une bonne surprise, qui renvoie dans les cordes les concurrentes moins soignées… Si la citadine "branchée" doit être "techno", l'Adam réussit son examen de passage de prime abord. Elle dispose en série, en finitions Glam et Slam, d'un système multimédia à écran tactile de près de 7 pouces, nommé Intellilink, avec la connectique USB, le Bluetooth. Point de navigation incluse. Pour en bénéficier, il faut télécharger sur son smartphone une application, Bringgo, disponible avec les systèmes d'exploitation Apple et Android. L'Intellilink reconnaît automatiquement un IPhone câblé par USB, ou un autre smartphone par Bluetooth, et l'accès à l'application se commande par l'écran tactile. L'Opel Adam sait par ailleurs recevoir... à l'avant uniquement. Deux places bien confortables et assez larges. Le temps de gâte à l'arrière. L'espace aux jambes y est restreint, et il n'existe pas de cinquième place, même d'appoint. Les vibrations et les bruits sont bien filtrés. Le confort général est bénéficie du châssis Sport (en série sur Adam Slam) et des jantes 17 pouces. C'est bon pour la personnalisation et l'œil, moins pour les vertèbres. Le bon côté des choses, c'est que l'Adam vire comme un petit kart. Elle vire presque à plat, mais que le rayon de braquage est large ! Opel a choisi un 1.2 de 70 chevaux, puis un 1.4 Ecoflex de 87 et 100 chevaux.Pour notre essai nous avons reçu le 1.4 l 100 ch. Dans la pratique, la relative rondeur du quatre cylindres, un peu paresseux hors agglomération, réclame entre 6.5 et 7 l/100. L'Opel ADAMest incontestablement la bonne élève del’ultra-personnalisation et passe avec brio les tests de citadine chic, branchée et on y voit toujours d’ailleurs des sourires féminins lumineux…Sur les parkings de nos boîtes à musiques… Prenez Rendez-Vous gratuitement ici pour essayer L'ADAM chez Autosgm !!!! LA FICHE Opel Adam 1.4 ecoFLEX 87 Slam
20170 euros 1 398 cm3 87 chevaux à 6 000 tr/mn Couple : 130 Nm à 4000 tr/mn Vitesse maxi : 176 km/h 0 à 100 km/h en 12,5 sec. Emissions de CO2 : 119 gr/km Conso mixte : 5,1 l/100 (données constructeur) Réservoir : 38 litres Longueur : 3,70 m

Octobre rose 2024 avec la ligue !

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